Le garçon qui ne pouvait pas voir les livres en peinture *
4ème de couverture:
Lire, Étienne a toujours détesté ça.
Les livres, c'était bon pour les autres, les premiers de la classe, sa mère, les filles, les profs. Lui, il avait mieux à faire. Mais voilà que ses parents divorcent. Rien ne sera plus jamais comme avant. Alors, tant qu'à changer. Le soir de l'annonce, seul, perdu, enfermé dans le bureau de sa mère, Etienne attrape un livre. Un recueil de nouvelles. Le titre de la première le fait sourire : Un jour rêvé pour le poisson-banane.
A la cinquième ligne, le mot " sexe " l'accroche. Et c'est parti. Étienne plonge dans l'histoire. Il se distrait de la sienne. Il devient curieux des livres, amoureux des livres. Au point d'avoir envie d'en écrire un.
C'est le titre qui m'a fait choisir ce livre. Je me suis dit: « Tiens, allons voir comment un ado qui déteste les livres peut se mettre non seulement à en lire beaucoup, mais aussi à en écrire un! »
J'avoue que j'ai moyennement aimé. J'ai trouvé cette histoire un peu trop exagérée pour paraître réaliste. Certes, on est dans le domaine de la fiction, mais ça me semble quand même un peu trop invraisemblable qu'un un non lecteur puisse avaler Le Da Vinci Code ou Marcel Proust!
Bellesahi a un avis différent.
Le garçon qui ne pouvait pas voir les livres en peinture
Willer, Ellen
Ecole des Loisirs, 2007 (Medium)
ISBN 978-2-211-08769-8